L’examen des indicateurs disponibles sur l’état de la connaissance scientifique dans le monde (nombre de publications scientifiques et de brevets, classement d’universités) permet d’établir toujours le même constat de faibles performances pour les 57 pays membres de l’organisation de la coopération islamique (OCI)
Tout se passe comme si ces indicateurs relatifs à l’état de la connaissance scientifique dans les pays musulmans pouvaient être considérés comme autant de signaux révélateurs de déficits à l’origine de crises déjà en cours et annonciateurs de celles à venir. Continuer la lecture