L’optimisme, l’humour et le rire sont des médicaments

La revue américaine Plos vient de publier une étude au titre éloquent : “Le rire comme médicament” ; Ce travail traite des bénéfices du rire sur la santé. “Dans notre analyse, nous montrons que le rire induit une baisse du niveau de cortisol, l’hormone du stress. Il est donc probable qu’il améliore la santé”

La sécrétion prolongée de cortisol a des implications négatives pour les maladies physiques et psychologiques, notamment l’obésité, la dépression et la douleur chronique. En faisant baisser mécaniquement le taux de cortisol, le rire révèle toutes ses vertus. Des études ont montré qu’il peut augmenter la tolérance à la douleur et avoir un impact positif sur le bien-être général dans divers contextes médicaux tels que l’oncologie, la psychiatrie et la rééducation. Continuer la lecture

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La conversation est un art

Un “art” est issu d’une habileté, d’un savoir-faire, d’un procédé, d’un talent particulier.
Il produit une œuvre unique qui selon les sensibilités va surprendre, mettre en délectation, étonner, ravir…

“J’étais arrivé à ce point d’émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les Beaux-Arts” disait Stendhal en 1817, pris de vertige devant les fresques de la chapelle Niccolini à Florence.

On dit que la conversation est un art, un art du récit, parce qu’une conversation réussie va surprendre, mettre en joie, ravir, comme le ferait une bonne pièce de théâtre.
Mais la conversation est aussi un art de la juste mesure, car une bonne conversation vient toujours, comme dans la bonne cuisine, d’un bon dosage et d’un bon équilibre.

Il faut des compliments mais pas trop, il faut des questions mais pas trop, il faut des échanges mais pas trop, il faut de la légèreté mais pas trop. Des traits d’esprit, oui mais pas trop. De l’humour, oui mais pas trop. Des anecdotes, oui mais pas trop…

Cela demande une vraie sensibilité, une vraie habileté et une vraie maîtrise. Voilà pourquoi la conversation est un art. Mais un art de tous les jours. Comme une manière de vivre au quotidien qui illumine et ensoleille nos rapports, et qui devrait être encouragée dès l’enfance. Car le “vivre-ensemble” ne commence-t-il pas par la conversation ?

cf. Henry Ranchon, Abécédaire décontracté de la conversation.
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Sept secrets pour mieux se nourrir

1. Mangez conscient :
L’une des causes de nombreux symptômes tels que la fatigue après le repas, le reflux gastrique et la prise de poids est en lien avec une prise alimentaire automatique, déconnectée des signaux de faim et de satiété. Pour retrouver vos sensations, nous vous conseillons de regarder ce que vous mangez et de ne pas prendre de repas devant un écran (téléphone, tablette, télévision). Mangez assis ou debout en position statique. Cela vous aidera à réduire naturellement la quantité des apports et à diversifier votre alimentation. Vous retrouverez de manière intuitive une appétence pour les aliments et les nutriments dont votre corps a besoin. Continuer la lecture

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Saisir sa chance, ça s’apprend !

Non ! La chance n’est pas qu’une question de pur hasard. Etre un sacré veinard ou un loser chronique dépend aussi de notre volonté et d’une façon de percevoir le monde Nous nous trompons quand nous considérons la chance comme un élément extérieur et non voulu et suscité.

Nous avons pris l’habitude de décrire la chance comme arbitraire et capricieuse. Face à elle, nous avons adopté une attitude passive et nous avons fini par croire qu’elle nous tombait dessus en nous choisissant. Nous nous sommes forgé une vision romanesque de la chance et en avons fait une composante magique de notre réussite ou notre absence de réussite. Continuer la lecture

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L’activité physique contre la dépression des enfants et des ados

On connaît les effets protecteurs de l’activité physique contre la dépression de l’adulte. Une étude de l’université de Hongkong montre son intérêt pour agir sur celle des enfants et des adolescents. Des résultats bienvenus, d’autant plus que les troubles de l’humeur sont en hausse chez les jeunes, en raison notamment de l’épidémie de Covid-19, avec environ un adolescent sur six touché.

Dans cette étude, la pratique d’une activité physique, comme courir, sauter… en moyenne trois séances de 50 minutes par semaine, pendant au minimum quatre semaines, est associée à une réduction importante des symptômes dépressifs chez les participants âgés de 13 ans ou plus. Les plus de 13 ans, plus sédentaires et davantage touchés par les écrans, étant plus réceptifs que les jeunes enfants, qui, eux, peuvent être suffisamment actifs et donc moins sensibles à une activité physique additionnelle. Continuer la lecture

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