Lire Machiavel est rafraîchissant, surtout en plein été. Car Le Prince (écrit pour Laurent De Médicis en 1513), est une bonne douche froide contre les illusions et les conformismes rassurants.
Machiavel nous fait d’abord réfléchir à la chance. Nous surestimons le rôle de la chance, nous di-il. La fortuna est à peu près l’arbitre de la moitié de ce qui nous arrive. Le reste est affaire de préparation. Continuer la lecture