On connaît les effets protecteurs de l’activité physique contre la dépression de l’adulte. Une étude de l’université de Hongkong montre son intérêt pour agir sur celle des enfants et des adolescents. Des résultats bienvenus, d’autant plus que les troubles de l’humeur sont en hausse chez les jeunes, en raison notamment de l’épidémie de Covid-19, avec environ un adolescent sur six touché.
Dans cette étude, la pratique d’une activité physique, comme courir, sauter… en moyenne trois séances de 50 minutes par semaine, pendant au minimum quatre semaines, est associée à une réduction importante des symptômes dépressifs chez les participants âgés de 13 ans ou plus. Les plus de 13 ans, plus sédentaires et davantage touchés par les écrans, étant plus réceptifs que les jeunes enfants, qui, eux, peuvent être suffisamment actifs et donc moins sensibles à une activité physique additionnelle. Continuer la lecture
								
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